Sur les traces de L’Amérindienne

Gagnante de l’important prix Adagio du Salon du livre de Trois-Rivières, Louise Lacoursière nous invite à découvrir L’Amérindienne, un nouveau roman ancré dans l’univers de sa populaire série La Saline.

www.lafabriqueculturelle.tv – Une capsule vidéo de Louise Lacoursiere – Sur les traces de l’amérindienne

Nul besoin d’avoir lu les autres volets de la trilogie pour apprécier L’Amérindienne, bien que les initiés auront plaisir à retrouver Judy O’Shaughnessy et le Dr Antoine Peltier. On s’attache instantanément à Alanis Watso, la sage Abénakise qui connaît tout des plantes médicinales, ainsi qu’à son petit-fils Simon, dont la vaillance et les valeurs morales forcent l’admiration. À travers eux et plusieurs autres personnages, on découvre la réalité quotidienne des nations abénakise et atikamekw de la fin du 19e siècle en Mauricie et au Centre-du-Québec.

Encore une fois, Louise Lacoursière allie parfaitement rigueur historique et qualités romanesques, transformant un devoir de mémoire qui nous fait trop souvent défaut en un réel plaisir de lecture. 

Site web de Louise Lacoursière: www.louiselacoursiere.com

À paraître…

Dans le regard de Flavie Plourde

Un roman d’Anne-Marie Couturier

Après avoir fait connaître l’incroyable histoire de son ancêtre et de sa lignée, dans L’étonnant destin de René Plourde et Le clan Plourde, Anne-Marie Couturier raconte celle de Flavie, fière descendante du pionnier René.

Née au début du siècle dernier dans le New Hampshire, Flavie Plourde va passer sa vie au Madawaska. Aînée d’une famille nombreuse, elle devient rapidement le bras droit de ses parents. À cinq ans, elle pétrit déjà le pain. L’école ne sera pas pour elle, ou si peu. En 1918, elle se marie avec Benjamin, son ami d’enfance, et va s’établir avec lui chez sa mère, dite Mémé, pour s’occuper d’elle et de la ferme. Les relations entre Flavie et sa belle-mère acariâtre s’avèrent pour le moins difficiles. Bientôt, la situation deviendra intolérable et Flavie devra faire des choix douloureux pour elle et ses nombreux enfants.

À travers le portrait de Flavie, Anne-Marie Couturier rend hommage à toutes ces femmes de caractère qui ont bravé les difficultés de la première moitié du XXe siècle et vécu les premiers balbutiements du féminisme qui ont mené notamment à l’obtention du droit de vote.

Née dans la région du Madawaska, Anne-Marie Couturier vit à Trois-Rivières depuis de nombreuses années. Son premier roman, L’étonnant destin de René Plourde : pionnier de la Nouvelle-France, lui a valu le prix France-Acadie 2009. Le succès qu’a connu ce livre lui a donné l’envie d’en faire une trilogie que Dans le regard de Flavie Plourde vient compléter.

Collection Voix narratives

Dès le 22 mars !

Invitation au Lancement

Second souffle pour la trilogie Yianna

Second souffle pour la trilogie Yianna

 

L’auteure de la région Manon Samson a appris cet été qu’une nouvelle maison d’édition s’intéressait à sa trilogie Yianna, devenue dont le troisième tome est prévu pour le printemps. Ses livres connaissent un succès particulier en ligne.

D’abord édité en format numérique sur Amazon, les deux premiers tomes sont de nouveau disponibles depuis décembre en format papier.

«Je suis vraiment contente du succès, il est dans les quatre premiers meilleurs vendeurs sur Amazon.fr dans «science-fiction/romance» depuis un mois. Il est aussi dans le top 10 d’Amazon.ca dans «science-fiction». J’en suis bien contente», exprime l’auteure.

«C’est cet été que j’ai appris que Les Éditions LouD s’intéressaient à rééditer ma trilogie Yianna. C’était une chance inespérée de relancer mon roman, mon bébé. Avec l’expérience des dernières années, j’ai pu peaufiner ce tout premier roman et ajouter de belles idées. Je suis fière du résultat», confie l’auteure.

L’engouement et la popularité en version numérique a d’ailleurs convaincu l’éditeur de le traduire en anglais. Le dernier tome est prévu pour le mois d’avril.

Depuis sa sortie, les critiques littéraires parlent de personnages attachants, d’un univers fascinant et d’une plume habile qui permet de capter l’attention du lecteur du début à la fin.

Dans sa trilogie, elle aborde une catastrophe sur terre, où plusieurs milliers de personnes sont enlevées et emportées sur une autre planète. Le lecteur est invité à suivre l’héroïne Emmy dans ses aventures sur cette mystérieuse planète. La trilogie est un mélange de science-fiction, de romance, d’émotions et d’une bonne dose d’imagination.

L’imprimé est actuellement disponible sur commande dans les librairies, alors que la version numérique est disponible sur Amazon.

Pour rejoindre l’auteure: www.facebook.com/manon.samson.auteure.fr.ca

Le Prix Adagio décerné à Louise Lacoursière

L’écrivaine Louise Lacoursière, qui s’est fait connaître pour ses romans Anne Stillman: le procès et la trilogie La Saline, a reçu, mardi, le Prix Adagio remis par le conseil d’administration du Salon du livre de Trois-Rivières.

Il s’agit d’une récompense biennale, assortie d’un prix de 500 $, visant à souligner le travail d’un auteur de la Mauricie ou du Centre-du-Québec qui a marqué la scène littéraire.

Pour lire la suite: Article PDF

Prix Adagio 2017 – Invitation

sltr2017

Invitation

Madame Stella Montreuil, présidente

du Salon du livre de Trois-Rivières,

a le plaisir de vous convier

 

à la remise du prix « Adagio 2017 »

à Madame Louise Lacoursière

Ce prix de carrière, attribué par le Conseil d’administration

du Salon du livre de Trois-Rivières, vient souligner le travail d’un auteur de la Mauricie et

du Centre-du-Québec qui a marqué la scène littéraire d’ici et d’ailleurs par la qualité

exceptionnelle de son travail d’écriture.

Vous êtes attendus à

La Maison de la Culture de Trois-Rivières
Foyer de la salle Anaïs-Allard-Rousseau

1425, place de l’Hôtel-de-Ville

Trois-Rivières

Le mardi 13 décembre 2016 à 14 h

Prière de confirmer votre présence avant le 9 décembre (Lien).

Prix du CALQ

Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) est heureux de décerner le Prix du CALQ – Créatrice de l’année au Centre-du-Québec à l’écrivaine Monique Juteau. Ce prix, assorti d’un montant de 5 000 $, lui a été remis par Véronique Fontaine, directrice du soutien aux organismes de création et de production, lors de la 13e édition du GalArt, événement de reconnaissance du milieu culturel centricois, qui s’est déroulé le 17 novembre Chez Boris, à Saint-Léonard-d’Aston.

« Les membres du comité de sélection du CALQ ont souligné la grande qualité d’écriture ainsi que la rigueur et la constance du parcours littéraire de Monique Juteau, qui est parsemé de reconnaissances. Ils ont eu un coup de cœur pour son dernier livre Voyage avec ou sans connexion. Ce récit de voyage, dans lequel la narration s’ancre dans une multitude de détails évocateurs, nous plonge dans le quotidien d’un globe-trotteur avec des images poétiques fortes », a mentionné Véronique Fontaine, du CALQ.

Pour de plus amples informations, suivre ce lien :

https://www.calq.gouv.qc.ca/actualites-et-publications/monique-juteau-prix-creatrice-centre-du-quebec/

 

 

Le Prix Clément-Marchand remis à Florilène Loupret

Le 19 mai 2016, la Société des Écrivains de la Mauricie a décerné le Prix Clément-Marchand à Florilène Loupret, dans le cadre de son concours littéraire annuel.

PrixCM2016-FlorileneLoupret

Mme Florilène Loupret a retenu l’attention du jury avec sa suite poétique «La lenteur de la lumière», qui a touché le jury par son vocabulaire, sa musicalité et la force de son souffle. Une réflexion sociale et spirituelle s’y développe à l’aide d’images fortes et pleines de contrastes. Cette vision porteuse d’espoir se démarque en outre par sa maturité stylistique et son propos. Mme Loupret a reçu des mains de M. Bryan Perro, éditeur, libraire et commanditaire du concours littéraire, une bourse de 1000 $.

La mention du prix Clément-Marchand a été accordée à Angélique Ricard pour sa nouvelle «Tout le monde est gentil». Le jury a particulièrement apprécié dans ce texte la qualité de la narration, qui adopte le point de vue d’une enfant avec fraîcheur et originalité. Ses observations et ses questionnements sur le monde qui l’entoure donnent lieu à une émouvante réflexion sur la différence. Mme Ricard a reçu une bourse de 500 $ de la Société Saint-Jean-Baptiste de la Mauricie.

Mention2016-AngeliqueRicard

Nos sincères félicitations aux deux lauréates. Nous adressons également un grand merci à tous les participants qui ont envoyé des textes et aux gens qui étaient présents à la cérémonie de remise du prix Clément-Marchand.

Liens:

Article: Des auteurs d’ici honorés – Hebdo Saint-Maurice-Mai2016

Article: Le Prix Clément-Marchand à Florilène Loupret – Culture – L’Hebdo du St-Maurice